Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : CGTFAPT-Comminges
  • CGTFAPT-Comminges
  • : Face à la privatisation de la Poste, il y a urgence de relancer une activité syndicale offensive dans les bureaux de poste du Comminges pour gagner sur nos revendications. Un débat riche et interactif est nécessaire, c'est le but de ce blog. Postières, postiers débattons ensemble sans tabou !
  • Contact

  • Gi Fo
  • Militants postiers syndiqués CGT du Comminges. Avec ce blog, nous avons voulu donner un moyen pratique d'informations profitant autant aux postiers qu'aux usagers.
Contact : cgtcomminges-poste@hotmail.fr
www.facebook.com/CgtCommingesposte
  • Militants postiers syndiqués CGT du Comminges. Avec ce blog, nous avons voulu donner un moyen pratique d'informations profitant autant aux postiers qu'aux usagers. Contact : cgtcomminges-poste@hotmail.fr www.facebook.com/CgtCommingesposte

Se syndiquer à la CGT.

Se syndiquer à la CGT c'est exprimer la volonté de ne pas rester isolé(e), d'être actreur(trice) de son avenir et de vouloir faire évoluer les choses dans le bon sens, l'Humain.

Se syndiquer à la CGT c'est dire non à la politique ultra-libérale actuelle ne visant que ses seuls profits, c'est défendre nos services publics, nos salaires, nos valeurs, travailler dans de meilleures conditions.

Se syndiquer à la CGT c'est obtenir un rapport de force afin d'inverser la tendance et faire respecter nos droits.

Vous avez décidé de vous syndiquer :

  • informez-vous auprès des militants CGT (pour le site de Saint-Gaudens et bureaux rattachés)
  • écrivez-nous si vous avez des questions (rubrique contact à gauche ou par mail à l'adresse : cgtcomminges-poste@hotmail.fr)
  • demandez le bulletin d'adhésion.

La grève, c'est quoi ?

 

 

Le délégué syndical

https://youtu.be/s4ADdV-HxIw

11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 18:41

L'ennui dans ce monde, c'est que les idiots sont sûrs d'eux et les gens sensés pleins de doutes.

Bertrand Russell

Repost0
3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 21:15

Des sociétés qui nourrissent en leur sein des millions et des millions de chômeurs risquent de s’effondrer. La violence menace, la capacité industrielle est durablement atteinte, le tissu social se déchire. A terme, la démocratie elle-même est en cause.

Michel Albert

Recentrer l'humain au sein de notre société : faire la peau au monde de la finance !

Encore de quoi méditer tranquillement sur l'actualité pour s'organiser en conséquence.

En fouillant sur internet, en lisant les journaux indépendants, en vous renseignant auprès de vos UL, il n'est plus possible d'ignorer ce qu'il se passe et de ne pas comprendre qui sont les réels casseurs du système.

Trop longtemps on a laissé passé, trop longtemps on a abandonné la rue et laissé filer nos droits et libertés.

Critiquer la lutte, injurier les militants, stop ! Ouvrez les yeux, la réalité est frappante ou enfoncez vous encore plus dans l'ignorance. Le problème c'est que tôt ou tard, vous serez touchés et vous serez bien contents d'être soutenus par des "connards" de la CGT !

Rester insensible aux violences endurées et à la précarité toujours plus présente dans le monde du travail, c'est refuser d'admettre la réalité, c'est se retrancher derrière ses peurs, c'est ne pas se montrer citoyen et responsable !

Repost0
2 avril 2016 6 02 /04 /avril /2016 20:20

A méditer, surtout en ce moment !

Quand ils ont voulu toucher à l’assurance chômage je n’ai rien dit. Je n’étais pas demandeur d’emploi.

Quand ils ont voulu toucher à l'assurance maladie, je n’ai rien dit. Je me croyais en bonne santé.

Quand ils ont voulu toucher à ma retraite, je ne suis pas descendu dans la rue. Pour moi, la retraite, j’avais le temps.

Quand ils ont voulu toucher au contrat et aux conditions de travail, je ne me suis pas inquiété. Là où je travaillais, j’étais pénard.

Quand ils ont voulu toucher aux syndicalistes. Je ne me suis pas senti concerné. Je n’étais pas syndiqué.

Quand ils m'ont viré, je n'ai rien compris, je n'ai même pas pu ouvrir ma gueule. J'étais tout seul, comme un con...

Repost0
2 avril 2016 6 02 /04 /avril /2016 19:07

Il ne peut y avoir de révolution que là où il y a conscience.

Je ne plierai pas. Je ne m'en irai pas en silence. Je ne me soumettrai pas. Je ne me retournerai pas. Je ne me conformerai pas. Je ne me coucherai pas. Je ne me tairai pas. Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire ; c'est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant.

Jean Jaures

Personnellement je n'ai rien contre les forces de police, mais il va vraiment falloir qu'ils se posent des questions quant à leur mission.

Sommes nous sous un régime totalitaire où la voix du peuple ne compte pas ? Sommes nous soumis, voués à subir les méfaits des plus riches ?

Ou sommes nous prêts à réagir à la hauteur ?

Repost0
1 avril 2016 5 01 /04 /avril /2016 17:40
Repost0
1 avril 2016 5 01 /04 /avril /2016 17:23
Repost0
29 mars 2016 2 29 /03 /mars /2016 21:39

Pourquoi nous appuyons la jeunesse

par Pierre Alferi (écrivain), Jérome Baschet (historien), Daniel Colson (sociologue), Daniel Denevert (artisan), Stéphanie Eligert (écrivain), Jacques Fradin (Philosophe), Eric Hazan (éditeur), Nicolas Klotz (cinéaste), Frédéric Lordon (économiste), Pierre Marcelle (journaliste), Karine Parrot (juriste), Elisabeth Perceval (scénariste), Serge Quadruppani (écrivain)...

Les médias nous disent que la loi Travail est menacée par un mouvement de la jeunesse. Ils spéculent sur l’état de ce mouvement. Est-il en phase ascendante ou déjà en train de s’essouffler ? On se livre à de passionnantes querelles d’interprétation sur les chiffres de la police. Nous qui ne sommes plus ni lycéens ni étudiants depuis bien longtemps et qui, pour certains, avons atteint un âge respectable, nous ne voyons pas les choses ainsi. Il nous semble que ce qui bouillonne dans le pays a certes pour déclencheur la loi Travail, mais n’a au fond que peu à voir avec cette loi. Et qu’insister sur la jeunesse dans ce mouvement relève d’une stratégie d’étouffement que viendront conclure, au moment-clé, les vacances et les usuelles démissions syndicales.

« On ne fait pas d’omelette sans casser des banques » écrivent avec esprit les lycéens sur les vitrines fracassées des agences bancaires. Ce qui s’exprime dans les slogans, dans les cortèges, dans les tags, dans les occupations, dans les affrontements avec la police, a trait à la situation générale du pays. Ce qui s’exprime là est un ras-le-bol diffus, une rage commune, une révolte transgénérationnelle. Jamais dans notre vie, nous n’avions vécu sous un gouvernement aussi discrédité, aussi cynique, aussi inapte à faire face aux défis du présent. Jamais l’idée qu’une alternance politique puisse changer quoi que ce soit à notre sort n’a semblé aussi absurde. Jamais la perspective d’une élection présidentielle n’a paru aussi saugrenue, grotesque et pour tout dire révoltante. Jamais la lutte entre les prétendants à la victoire électorale n’a offert un spectacle plus ridicule.

Le désastre social, économique, écologique, existentiel, ou pour le dire d’un mot : la crise de civilisation que nous traversons, ne trouvera pas d’issue dans la politique classique. Aussi, la question qui se pose au mouvement en cours n’est-elle pas celle de la loi El Khomri, mais bien celle d’un soulèvement. La destitution du gouvernement et du régime ne se fera pas par l’adjonction à un mouvement de jeunesse d’un mouvement syndical de salariés et de fonctionnaires. Ce ne peut être que le fait d’un vaste mouvement populaire. Voilà qui ne se fera pas sans violence, ni sans stratégie. La férocité qu’a déployée la police pour empêcher jeudi 17 mars à Tolbiac une assemblée ouverte du mouvement dit assez combien le gouvernement perd son sang-froid à l’idée de jonctions inattendues, auxquelles il nous faut donc travailler.

Pour sortir des limites fixées par les différentes bureaucraties, les prochaines dates sont le 24 et surtout le 31 mars, avec la proposition, ce jour-là, de rester dans la rue et d’occuper des places. Mais nous avons appris ces dernières années que les occupations de places à elles seules ne suffisent pas à bloquer le fonctionnement des institutions. Le risque qu’elles contiennent est de se contenter d’exister, d’attendre leur évacuation ou leur épuisement. À notre sens, elles doivent donc plutôt servir de base depuis lesquelles prendre les lieux d’où les « représentants du peuple » prétendent pouvoir le gouverner, et à l’occasion le matraquer. Mairies, conseils divers, assemblées soi-disant régionales ou nationales, tout cela mérite d’être investi, repris, assiégé ou bloqué. Nous devons viser le blocage organisé du pouvoir politique. Il est donc crucial que soit défendu publiquement, dans ces jours, le bien-fondé du recours à l’action de rue. Bref : ce petit texte pour dire à la jeunesse que nous sommes avec elle, que nous serons avec elle dans la rue ou en esprit, et qu’aucune manœuvre d’isolement ne nous en dissociera. Qu’elle se permette tout ce qu’il lui semblera nécessaire d’expérimenter. Nous l’appuierons. À très vite, dans la rue.

Pierre Alferi (écrivain),Daniel Colson (sociologue) Daniel Denevert (artisan), Stéphanie Eligert (écrivain), Jacques Fradin (Philosophe), Eric Hazan (éditeur), Nicolas Klotz (cinéaste), Frédéric Lordon (économiste), Pierre Marcelle (journaliste), Karine Parrot (juriste), Elisabeth Perceval (scénariste), Serge Quadruppani (écrivain)...

Repost0
28 mars 2016 1 28 /03 /mars /2016 21:53

Olivier Besancenot s’adresse à la jeunesse mobilisée contre la loi travail, lors du meeting du NPA Jeunes "Face à la loi travail, pour un nouveau mai 68 !", le 25 mars 2016 à Paris « Il y a quelque chose qui est en train de déborder dans la société, et vous êtes en train de le vivre. (…) Nous les salariés, on arrive et on arrive nombreux. Le 31, quoi qu’il en soit c’est déjà un succès, c’est une mobilisation qui se construit et ne fait que débuter, en réalité. (...) Le problème c’est pas seulement d’être contre la loi travail. L’enjeu c’est de regrouper ceux qui pensent que d’être contre ça suffit pas, mais qu’il faut contrer la loi travail. (...) L’arme la plus efficace, c’est la conscience qu’on a de nous-mêmes. Et ça c’est quelque chose que vous êtes en train d’acquérir maintenant, et qu’il va falloir consolider en militant. On a besoin de ça pour les semaines à venir. »

Repost0
25 mars 2016 5 25 /03 /mars /2016 19:33

La violence est le dernier refuge de l'incompétence.

Isaac Asimov

Repost0
24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 21:44

Position de la CGT GOODYEAR sur l'attitude de l'UD et UL Amiens ville ....


Par CGT le jeudi 24 mars 2016, 15:46


Alors que la situation demande une convergence de la lutte, vous participez à l'éclatement du mouvement, suivant comme des moutons des directives qui nous mènent depuis des années à une catastrophe sans nom !!!!
Le gouvernement n'a que faire de manifestations ou 2000 personnes se baladent pendant un parcours qui peut même servir à faire les courses, on est déjà bien au delà du ridicule...
Pas de passage là où c'est interdit, surtout respecter à la lettre les consignes de la préfecture.....
Il y a bien-sûr des régions où manifester à Paris est plus que compliqué, pour autant des délégations sont envoyées mais à Amiens, aucune excuse de ce genre n'est possible !!!
Pendant ce temps là, des syndicalistes en prennent plein la gueule, nous ne parlerons pas de nous, car notre cas est à lui seul l'exemple que le gouvernement a bien compris que dans la CGT il y avait un énorme problème, nous parlerons des salariés qui partout parce qu'ils se battent et n'acceptent pas les directives, se retrouvent en GAV, licenciés et traînés devant les tribunaux, les étudiants virés des facs à coups de flashball, les facs fermées pour éviter les AG....
La situation est la pire jamais connu depuis plus de 70 ans, jamais l'état n'a tapé aussi fort et nous constatons que des UD à la solde d'une poignée de dirigeants totalement à côté de la plaque, continuent à faire semblant de se mobiliser, c'est une honte !!!!
Oui une honte car si la loi du travail passe, nous serons coupables de ne pas avoir réuni les conditions pour la mettre en échec, quand nous voyons que nous avons osé rencontrer la CFDT nationale, ce syndicat qui signe toutes les merdes depuis des années et qui est aujourd'hui prêt à signe la mort du code du travail....
Alors il y a le congrès national, mais les militants, ceux qui luttent pour de vrai ne considèrent pas ce congrès comme la priorité, savoir qui va être à la tête, car ce qui compte c'est la politique du syndicat et non une personne ou un groupe qui se croit au dessus de centaines de milliers d'autres....
Cela fait plus de 20 ans que nous reculons, à chaque fois c'est pareil: " pas facile de mobiliser, faut attendre, c'est pas encore le moment ..."
Ok, des syndicalistes condamnés à de la prison, une loi qui va éradiquer le monde du travail et ce n'est pas le moment ???
Pour certains c'est la lutte des PLACES la priorité, alors que nous avons plus que jamais besoin de la lutte des classes pour s'opposer à une justice de classe...
Ras le bol de ceux qui nous ridiculisent, car la CGT ce n'est pas cela, la CGT c'est dans de très nombreuses entreprises des militants qui s'opposent aux mauvais coups et qui unis gagnent, mais pour gagner au niveau national il ne faut pas faire semblant et faire tout pour éviter le tous ensemble ....
Si là loi passe la CGT explosera en miette, car plus de code du travail c'est la fin des militants !!!!
Nous sommes écœurés comme bien d'autres, mais nous ne lâcherons pas car nous savons que c'est le but, nous ferons tout pour que la CGT, la VRAIE l'emporte sur la bureaucratie délirante qui depuis longtemps veut nous imposer un syndicalisme réformiste, nous sommes à la CGT, jamais nous n'accepterons de compromis avec ceux qui nous détruisent et nous méprisent ...
La CGT doit revenir à ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être, un syndicat de combat et d'unité avec les salariés, les chômeurs, les retraités, les étudiants, tous ceux qui veulent une autre société et non l'unité avec des pourris qui ne pensent qu'à obtenir des sièges dans les conseils d'administrations !!!
Le 31 mars nous serons à Paris, nous avons déjà beaucoup de retour de beaucoup de régions qui appellent à là convergence de la lutte.
À Amiens, il n'existe même pas de comité de soutien aux 8 de Goodyear, honte à ceux qui baissent la tête et ne permettent pas de réunir les conditions pour qu'à Amiens il y ait comme dans toutes les grandes villes et régions de France un comité de soutien qui devrait de plus préparer très activement l'appel à Amiens les 19 et 20 octobre....
Certains pensent que des places au CCN de la CGT valent une telle attitude , bien-sûr cela est loin d'être le cas partout, des UD avec des camarades qui se mobilisent à la fois contre les attaques contre les syndicalistes et la loi travail il y a en, nous avons l'occasion et la chance d'en rencontrer, mais sur Amiens se retrouver dans une telle situation est scandaleux !!!
Nous allons donc avec notre camarade de l'union locale zone industrielle d'Amiens travailler à la mise en place du comité de lutte, nous allons élargir aux comités de soutien du nord et de Beauvais, nous allons démontrer que la CGT a largement de quoi faire le travail pour que l'appel qui arrive en octobre permette d'accueillir les milliers de soutiens qui annoncent déjà leurs présences...
À Amiens depuis que notre usine est hélas fermée, les patrons rigolent, ils se disent plus de Goodyear plus de zone bloquée et pour le moment ils ont raison...
Mais, un jour ou l'autre des salariés menacés reprendront le flambeau et imposeront des blocages de la zone, alors que normalement c'est le rôle des instances de démarrer ce genres d'initiatives, GEST doit bien se marrer, lui qui avait annoncé je reprendrai la zone après la mort des Goodyear....
Nous sommes plus que déçus et c'est légitime, pendant près de 50 ans sur la zone d'Amiens et plus largement dans la région les Goodyear ont été toujours dans les mobilisations et souvent à l'initiative de blocages, si les politiques sont heureux d'avoir vu fermer notre usine, nous pensons que d'autres aussi aujourd'hui respirent mieux, plus personne pour venir les contrarier, nous avons une histoire et elle ne s'arrêtera pas là...
Ceux qui pensent que la CGT Goodyear est morte et enterrée vont vite déchanter, plus que jamais nous sommes vivants, plus que jamais nous sommes combatifs, le syndicalisme ce n'est pas faire semblant, nous avons énormément souffert de notre histoire douloureuse, mais nous souffrons encore plus de voir ce qu'il se passe à Amiens ou à part quelques militants qui comme nous ne sont pas au aux mains de l'appareil, nous constatons que c'est la désorganisation organisée la plus complète...
Nous serons là encore un bon moment et nous imposerons le choix du plus grand nombre, la CGT ce n'est pas encore la CFDT même si certains en rêvent, la CGT se sont des militants qui ont une histoire, un vécu et de l'amour pour ces 3 lettres, la CGT ce n'est pas des dirigeants qui depuis des années se plantent volontairement sur la stratégie !!!!
Nous aurons l'occasion d'exprimer de vive voie ce que nous venons d'écrire car, la CGT c'est la liberté d'expression et d'opinion et bizarrement c'est celle la plus partagée actuellement...
Le 31 est dans 7 jours, il est encore temps que vous stoppiez votre appel à l'isolement pour un appel au rassemblement, les moyens existent il faut juste en avoir la volonté !!!!
LA CGT GOODYEAR

Repost0