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  • : CGTFAPT-Comminges
  • CGTFAPT-Comminges
  • : Face à la privatisation de la Poste, il y a urgence de relancer une activité syndicale offensive dans les bureaux de poste du Comminges pour gagner sur nos revendications. Un débat riche et interactif est nécessaire, c'est le but de ce blog. Postières, postiers débattons ensemble sans tabou !
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  • Militants postiers syndiqués CGT du Comminges. Avec ce blog, nous avons voulu donner un moyen pratique d'informations profitant autant aux postiers qu'aux usagers.
Contact : cgtcomminges-poste@hotmail.fr
www.facebook.com/CgtCommingesposte
  • Militants postiers syndiqués CGT du Comminges. Avec ce blog, nous avons voulu donner un moyen pratique d'informations profitant autant aux postiers qu'aux usagers. Contact : cgtcomminges-poste@hotmail.fr www.facebook.com/CgtCommingesposte

Se syndiquer à la CGT.

Se syndiquer à la CGT c'est exprimer la volonté de ne pas rester isolé(e), d'être actreur(trice) de son avenir et de vouloir faire évoluer les choses dans le bon sens, l'Humain.

Se syndiquer à la CGT c'est dire non à la politique ultra-libérale actuelle ne visant que ses seuls profits, c'est défendre nos services publics, nos salaires, nos valeurs, travailler dans de meilleures conditions.

Se syndiquer à la CGT c'est obtenir un rapport de force afin d'inverser la tendance et faire respecter nos droits.

Vous avez décidé de vous syndiquer :

  • informez-vous auprès des militants CGT (pour le site de Saint-Gaudens et bureaux rattachés)
  • écrivez-nous si vous avez des questions (rubrique contact à gauche ou par mail à l'adresse : cgtcomminges-poste@hotmail.fr)
  • demandez le bulletin d'adhésion.

La grève, c'est quoi ?

 

 

Le délégué syndical

https://youtu.be/s4ADdV-HxIw

20 février 2014 4 20 /02 /février /2014 21:21

Deux exemples parmis d'autres. La chasse aux économies continue au détriment des personnels. C'est scandaleux ! Le massacre doit cesser, nous n'en pouvons plus !

 

Fermeture de la PIC du Val d'Oise

Publié le 4 janvier 2013   dans   

Tract unitaire (PDF – 144.1 ko)

 

 

Fermeture de Bercy PPDC

Publié le 12 décembre 2013

PDF - 510.4 ko
Tract Bercy
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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 20:36

AISNE. Quelques jours après la présentation d’un rapport très inquiétant pour l’entreprise nationale, des réponses sont exigées pour le 1er mars.

Une certitude : si la direction de la Poste ne répond pas précisément aux problématiques soulevées par le rapport d’expertise, nous porterons ce dossier devant les tribunaux ». Moins d’une semaine après la révélation de la teneur très sombre du rapport dressé à l’initiative du comité d’hygiène par le cabinet 3E conseil, les parties en présence, exception faite pour l’heure de la direction territoriale de l’enseigne (la partie bureaux de La Poste) à Beauvais, sont résolues à mettre un terme au processus de réorganisation « destructeur » engagé par la tête de l’entreprise sur l’ensemble de ses territoires.

Flou décisionnel

Une fermeté que la synthèse de l’étude « risque grave », enclenchée début 2013 après le suicide d’un postier à La Fère, ne vient pas altérer. Ainsi, les conclusions des experts mandatés par le CHSCT, relèvent l’omniprésence d’un « risque » pour la santé physique et mentale des agents, risque généralisé au niveau de l’enseigne. L’analyse des sept « terrains », ces périmètres d’intervention de La Poste en Picardie par les spécialistes de 3E conseil mentionne la souffrance, « voire la très grande souffrance » des personnels au travail. « Les zones de Tergnier et de La Fère sont symptomatiques d’une détérioration globale des conditions de travail » commentent plusieurs représentants du personnel. Nombre de questions posées par les experts n’ont pu trouver de réponse, notamment en raison du caractère régional de l’étude et d’un « flou en matière décisionnelle ». C’est la raison pour laquelle un « éclairage avec une réponse écrite étayée et circonstanciée à chacune des questions et préconisations soulevées dans le rapport » est demandé à la direction avant le 1er mars. Directions régionale mais aussi nationale qui, outre le recrutement de personnel, se voient demander en conséquence par les syndicats l’arrêt immédiat de tous les projets de réorganisation avant « une révision écrite et effective de la politique de prévention de la santé au travail ». De son côté, la direction de La Poste rappelle « la très forte mobilisation de tous les acteurs de l’entreprise pour prendre des mesures concrètes visant à améliorer les conditions de travail et la qualité de vie des collaborateurs. La Poste considère de son devoir d’entreprise de poursuivre ses efforts en ce sens.  »

source : lunion.presse.fr, 18/02/2014

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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 18:36
Dialogue social, emploi, manque de considération, respect du code de la route, les motifs de mécontentements ne manquent pas !

Après 3 jours de grève à 100%, du 12 au 15 décembre, [1], les facteurs et agents du service arrière du bureau de Plabennec, dans le Finistère Nord, ont voté la reprise du travail.

Leur action a obligé la direction de la Poste à ouvrir des négociations sur leurs revendications et à les satisfaire.

Depuis plusieurs mois la situation au Centre de Distribution du Courrier (CDIS) était tendue.

Au manque de dialogue social, au manque d’emplois, au manque de considération de la part de la direction de l’établissement, est venue s’ajouter la goutte d’eau qui fait déborder le vase : une tentative de passage en force de cette direction voulant imposer une organisation du travail avec un jour fixe de RTT différent pour chaque agent (untel le mardi, untel le vendredi, untel le samedi etc..).

Le poids de l’action collective

Devant cette attitude totalitaire, les facteurs et les agents des services dits arrières se sont réunis et ont établi un cahier revendicatif porté par un préavis de grève.
La négociation dans le cadre légal n’a rien donné, sauf l’abandon du jour imposé, la direction s’asseyant sur le reste des revendications.
Les agents sont donc entrés en lutte à 100%.

Après 3 jours d’une mobilisation exemplaire, d’heures de négociation, de remise de pétitions aux usagers pour obtenir leur soutien, d’une rencontre avec le maire de Plabennec, de présence en piquet de grève devant leur CDIS.

La Poste devant une telle détermination a du lâcher :
- Comblement des emplois vacants ;
- Comptabilisation et paiement des heures supplémentaires (y compris rétroactivement) ;
- Mise en place d’une DHT de 38h10 avec attribution de 6 jours de repos toutes les 12 semaines (2 fois 2 jours consécutifs, 2 fois 1 jour toutes les 3 semaines) ;
- Réunion avec les organisations syndicales dépositaires des préavis de grève (CGT, Sud) pour le suivi du relevé de décisions acté en fin de conflit ;
- Réalisation d’un nouveau diagnostic dès janvier pour coller à la réalité du terrain (augmentation des PDI et distribution en conformité avec le respect du code de la route).

Un dossier qui embarrasse La Poste. la CGT ne lâche rien.

La CGT avait interpellé la Direction des services du Courrier (DOTC) sur la question de la sécurité des agents, plus particulièrement sur la circulation des 2 roues sur les trottoirs.

Réponse de la Direction de la DOTC : confirmation de la responsabilité civile des facteurs en cas d’accident et en plus sanction pour non respect du code de la route au prétexte que les organisations ont été calculées en intégrant le respect du code de la route et prennent en compte un temps d’arrêt et de descente du véhicule devant chaque PDI.

La Direction doit ignorer que la base qui a servi à “construire” les tournées est les accompagnements physiques avec les vérificateurs... et que ces accompagnements ont été effectués avec des entorses au code de la route, comme celle de rouler sur les trottoirs.
Les facteurs qui ne voulaient pas le faire étant d’ailleurs priés de s’exécuter car « ils ne jouaient pas le jeu » !

Il faudra que la DOTC nous explique comment effectuer une tournée de 750 foyers en “béquillant” à chaque arrêt le scooter sur la route (à 4 voies ?), descendre, aller à la boîte, revenir au scooter, remonter après l’avoir “débéquillé” tout en rentrant dans les horaires prévus sachant que c’est 37 secondes de desserte par boite.

Une précision : La DOTC n’a pas le droit de placer son joker... elle nous doit une réponse !
Celle de la CGT est : « Mission Impossible »

Des directeurs d’établissements nous ont déjà avoué leur embarras. Lors de la négociation à Plabennec, la même gène était perceptible.

La CGT entend régler cette situation en exigeant la tenue des CHS-CT d’établissements mais la Direction refuse la tenue d’un CHS-CT DOTC exceptionnel) et la nomination d’experts pour constater la faisabilité (ou pas) de la distribution dans les temps impartis dans le respect du code de la route, de la sécurité des agents et des tiers.

La lutte des facteurs de Plabennec a aussi permis d’aborder cette question. Les agents seront particulièrement vigilants sur ce point.

Les facteurs de Plabennec, ont démontré que la mobilisation pour porter les revendications est toujours payante.

La première des victoires obtenue, et non des moindres, étant le respect de leur dignité et la prise en compte de l’humain par la direction.

La CGT propose que dans tous les bureaux l’action s’organise, a commencer par la rédaction des cahiers de revendications.

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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 17:02

Ce mardi 6 décembre, les agents de la distribution de Châteauroux et de Déols dans l’Indre entament leur 16ème jour de grève dont 13 consécutifs.Aujourd’hui le mouvement s’amplifie avec 96% de grévistes à Châteauroux et 82% à Déols. Ce conflit est dû à la décision de La Poste d’imposer une interruption de travail de 45 minutes entre 12h - 13h.

Par la même, elle supprime une pause incluse dans le temps de travail en décalant la prise de service de 30 minutes. De plus, La Poste cherche à réorganiser complètement l’organisation du travail à la distribution et par là même à supprimer massivement des emplois.

En agissant ainsi, La Poste fait fi des conditions dans lesquelles les facteurs peuvent se restaurer, de la sûreté des correspondances et d’une fin de service fortement retardée sans parler de la distribution dans la matinée de toutes les correspondances.
Elle utilise toutes les arguties (par exemple une circulaire de 1979), pour justifier son organisation sans regarder les conséquences réelles pour les facteurs sur le terrain.

Malgré les demandes incessantes de la CGT, les interventions du préfet de l’Indre et de l’inspection du travail, La Poste refuse toutes négociations depuis plus de 2 semaines. L’image de La Poste ne peut être grandit par cette attitude.

La détermination des postiers de Châteauroux et de Déols demeure et est renforcée par l’appel à l’élargissement lancé par la CGT à l’ensemble des postiers de l’Indre pour le 6 décembre.

La Poste doit négocier. Elle doit cesser de s’arque bouter sur des motivations sans fondement, basées sur la rentabilité financière au détriment des personnels et du service rendu aux usagers.

(humanite.fr)

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