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Présentation

  • : CGTFAPT-Comminges
  • CGTFAPT-Comminges
  • : Face à la privatisation de la Poste, il y a urgence de relancer une activité syndicale offensive dans les bureaux de poste du Comminges pour gagner sur nos revendications. Un débat riche et interactif est nécessaire, c'est le but de ce blog. Postières, postiers débattons ensemble sans tabou !
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  • Militants postiers syndiqués CGT du Comminges. Avec ce blog, nous avons voulu donner un moyen pratique d'informations profitant autant aux postiers qu'aux usagers.
Contact : cgtcomminges-poste@hotmail.fr
www.facebook.com/CgtCommingesposte
  • Militants postiers syndiqués CGT du Comminges. Avec ce blog, nous avons voulu donner un moyen pratique d'informations profitant autant aux postiers qu'aux usagers. Contact : cgtcomminges-poste@hotmail.fr www.facebook.com/CgtCommingesposte

Se syndiquer à la CGT.

Se syndiquer à la CGT c'est exprimer la volonté de ne pas rester isolé(e), d'être actreur(trice) de son avenir et de vouloir faire évoluer les choses dans le bon sens, l'Humain.

Se syndiquer à la CGT c'est dire non à la politique ultra-libérale actuelle ne visant que ses seuls profits, c'est défendre nos services publics, nos salaires, nos valeurs, travailler dans de meilleures conditions.

Se syndiquer à la CGT c'est obtenir un rapport de force afin d'inverser la tendance et faire respecter nos droits.

Vous avez décidé de vous syndiquer :

  • informez-vous auprès des militants CGT (pour le site de Saint-Gaudens et bureaux rattachés)
  • écrivez-nous si vous avez des questions (rubrique contact à gauche ou par mail à l'adresse : cgtcomminges-poste@hotmail.fr)
  • demandez le bulletin d'adhésion.

La grève, c'est quoi ?

 

 

Le délégué syndical

https://youtu.be/s4ADdV-HxIw

15 mars 2018 4 15 /03 /mars /2018 18:37

La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice.

Baruch Spinoza

*Nouvelle organisation du bureau de poste de Saint-Gaudens, abus de confiance ?*

Alors que la CGT FAPT vient de signer un accord pour les bureaux d'Aspet et de Saint-Gaudens, les agents se posent déjà des questions en ce qui concerne le comblement des positions de travail à la bascule de la nouvelle organisation.

En effet, nous avons été clair tout au long du mois de grève, jusqu'à la signature, le comblement doit se faire par de l'embauche stable définitive et ce, au passage à la nouvelle organisation prévu mardi prochain 20 mars. Or, nous apprenons que certains agents ne pourront arriver qu'au mois de juin... En attendant des intérimaires tiendront les postes pourvus. Pour rappel, le comblement de postes vacants par des précaires est illégal.

Nous avions entamé une grève justement et en grande partie pour le fait d'obtenir plus de moyens humains, débloqués par de l'embauche soit sèche donc immédiate soit par des candidats au contrat pro. Il n'a jamais été question de recoller du précariat en attendant que...

Ainsi la section est reçue demain matin 8h30 afin de recadrer l'affaire. Si La Poste n'est pas en capacité de combler les postes au 20 mars alors qu'elle s'y était engagé et alors que d'anciens CDD surutilisés pouvaient voir concrétiser une embauche et surtout sortir d'une situation difficile, à ce moment là il en va de même de notre capacité à tolérer que l'on se joue de nous tous.

Dès lundi, nous avons pour ordre de mettre à jour nos casiers mais nous attendrons le mois de juin lorsque les effectifs complets seront présents pour basculer à la nouvelle organisation.

La CGT FAPT ne signe pas un accord pour qu'au final il ne soit pas respecté, c'est un abus de confiance flagrant ! Rajoutez à cela certaines zones d'ombres non résolues ou certaines questions laissées sans réponses comme par exemple les questions d'équité entre tous, le manque de moyen, la non prise en compte du travail réel et la grogne recommence à grimper en flèche.

Des décisions sont prises puis abandonnées, appliquées à certains pas à d'autres, La Direction joue au jeu des divisions, peu importe, nous préparons d'ores et déjà un préavis pour remettre les pendules à l'heure. Des mouvements s'entrevoient dans de nombreux services pour les mêmes raisons et beaucoup commencent à réaliser que c'en est trop.

Cette fois ci, nous ne ferons pas les choses au hasard, un tract s'adressant à la population est en route, nous interpellerons les élus et les médias ainsi que l'Inspection du Travail afin de faire appliquer le protocole de sortie de conflit dans son intégralité.

Plus que jamais déterminés, nous élargirons autant que possible le débat quitte à faire du porte à porte, sensibiliser les entreprises car il nous est inconcevable de laisser perdurer plus longtemps ces manquements et pour beaucoup envisager un nouveau mois de grève ne fait pas peur. Restera qu'à "contaminer" les autres bureaux commingeois.

 

La note de la section :

Comme à chaque fois, pour chaque élection, et pour couronner le tout, La Poste joue les radins. Alors qu'elle touche un cachet de l'Etat pour assurer la distributions des plis électoraux, ceci étant une charge de travail supplémentaire, La Poste se remplit la poche en délestant de ces quelques deniers les agents distributeurs. La combine devient coutumière si ce n'est que pour ne pas à avoir à donner le moindre centime, La Poste nous impose de ne distribuer que les plis électoraux dès demain vendredi (puisque nous ne les avons toujours pas reçus). Quid de la détention illégale de courrier ce jour là ? Ne vous inquiétez pas chers lecteurs, ça va rentrer dans les us avec l'innovation dîte "distri pilotée" où le facteur ne distribuera qu'un jour sur deux certaines zones.

Nous constatons que des méthodes peu scrupuleuses voient le jour afin de rentabiliser toujours plus et récupérer de la productivité. La question est, jusqu'à quel point sommes nous prêts usagers, élus et postiers à accepter ces désengagements et "magouilles" qui mettent toujours plus à mal le service public ?

 

Confiance vous avez dit confiance ?

 

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4 mars 2018 7 04 /03 /mars /2018 15:10

Celui qui accepte le mal sans lutter contre lui coopère avec lui.

Martin Luther King

Que ce soit au niveau écologique ou citoyen, c'est pareil !

Que ce soit au niveau écologique ou citoyen, c'est pareil !

Cela fait un petit moment déjà que nous n'avions pas donné de nouvelle.

A l'aube de la mise en place de la nouvelle organisation fin mars, le compte n'y est toujours pas. La Poste tout comme la SNCF, puisque c'est d'actualité en ce moment, ne cesse de vouloir mettre en pièce le service public pour pouvoir "évoluer et répondre aux attentes de tous" sauf que si on sait lire entre les lignes, il faudra s'attendre à un "service" toujours plus cher et moins efficace sur l'ensemble du territoire. En découle des tournées toujours plus chargées, des arrêts maladie qui grimpent en flèche avec beaucoup de TMS ou de burn-outs, un service d plus en plus bâclé et ce malgré l'engagement Poste / Etat.

La distri-pilotée montre le bout de son nez !

Distri pilotée, qu'es aquo ? C'est tout simplement une nouvelle façon de se désengager de notre mission première. Les tournées sont séparées en plusieurs "quartiers" qui seront distribués 1 jour sur 2, sur 3 voire une fois par semaine pour les "écarts" trop éloignés et compliqués à desservir. Nous récoltons là une nouvelle manière plus rentable de servir les usagers... C'est pas glorieux, c'est la nouvelle Poste, celle qui vise à faire du chiffre par tous les moyens. On peut déjà penser que si vous déirez votre courrier au jour le jour, il faudra y mettre le prix. Cela marche pareil pour les entreprises alors qu'on nous assure le contraire. Cette stratégie est pour le moins indigne, et nous ne la cautionnons pas. De même, la distribution des colis se fera dans le même esprit. Comment La Poste va t-elle pouvoir justifier les retards de livraison alors qu'elle doit se tenir aux engagements tarifés ? Elle compte probablement sur la résignation de la population...

Encore une fois, qui plus est en milieu rural, La Poste prouve qu'il n'y a pas de petit profit. En adoptant cette manière de travailler, le travail du facteur, ce que nous connaissions ne sera plus. Le facteur deviendra prestataire de service et n'aura plus le lien qu'il pouvait avoir avec ses "clients" et ne disposera plus du temps nécessaire pour pouvoir le créer.

La Poste pense pourtant qu'en instaurant la distri pilotée, le facteur pourra établir ce lien. Elle en oublie la surcharge quotidienne cumulée ou comment travailler intelligemment rime avec faire du vent. Ce n'est ni plus ni moins une autre manière de moins dépenser (coût trajet essence, usure etc...) et de permettre d'engraisser l'actionnariat. Cela marque ainsi la mise à mort du métier que nous connaissions tous.

 

Faire d'avantage avec beaucoup moins ?

C'est effectivement devenu leitmotiv d'un grand nombre d'entreprises : charger la mule au détriment de la qualité simplement pour rentabiliser au mieux. Ainsi les agents se retrouvent avec des tournées plus longues en attendant de récupérer les fameuses "sacoches" du bureau d'Aspet. Cela ne va pas être une affaire qui roule, bien au contraire ! Déjà il y a quelques mois nous prévenions la direction que nous étions au taquet, qu'il allait être compliqué et démentiel de charger encore plus la distribution.

Il est avéré que depuis la mise en place des facteurs guichetiers, ces derniers se trouvent en difficulté ne serait-ce que par le manque de moyen, de formation ou d'effectif.

Les accompagnements ne font pas non plus le réel état des lieux des tournées en ne prenant pas en compte le réel du quotidien. Ce sont de simples accompagnements managériaux qui n'apportent pas de solution aux problèmes déjà posés lors de la précédente réorganisation qui ne sont d'ailleurs toujours pas résolus. Que faut-il comprendre ? Nous sommes dans une période bienveillante pour le patronat. Le gouvernement ne cesse de faire des cadeaux aux plus riches en tirant sur les petites mains. Il n'y a pas de révolte à proprement dit puisque malgré les diverses attaques subies, le peuple ou plus ciblé, les travailleurs ne semblent pas en comprendre les enjeux. Pire, il semble même que beaucoup se résignent à subir sans broncher et passent plus aisément leurs nerfs sur les acquis de leur voisin, collègue ou autre. Cet état de fait résulte d'un martèlement intensif médiatique complice de la finance. Le peuple n'a jamais été aussi divisé, c'est alarmant. Pourtant tous réclament la même chose, un bon salaire pour vivre dignement.

Aujourd'hui avec par exemple les "efforts" demandés aux retraités pour participer à la solidarité nationale, nous constatons une nouvelle fois qu'il vaut mieux taper dans le porte monnaie des plus faibles que là où il y a réellement de l'argent : les cadeaux aux riches pleuvent (CICE 40 milliards, plus d'ISF, gratuité des services, augmentations des plus grands élus etc...) alors que le gouvernement impose toujours plus aux petites classes. Et ce, avec le plus grand mépris affiché et assumé. La lutte des classes est effective et se confirme toujours plus. alors comment inverser la tendance si nous ne sommes pas en capacité de nous unir ?

 

L'unité devenue utopique ?

Alors que de jour en jour tout le monde se rend compte d'un nouveau conflit dans sa région, dans sa commune ou dans son entreprise, la convergence des luttes ne semble toujours pas poindre. Pourquoi n'arrivons-nous pas à construire ensemble ? Le principe même de l'égo humain en est la cause principale. Les valeurs qui ont construit l'après guerre ne sont plus. Alors que notre ennemi commun prolifère (la finance bien sûr) en écrasant tout sur son passage et souvent en causant des dégâts collatéraux, nous ne trouvons pas de solution pour unir nos forces. Trop d'intérêts en jeu, plus assez de valeur pour passer outre. Chacun est devenu le loup de l'autre dans tous les secteurs (entreprise, syndicat, politique, peuple etc) : coups bas, trahisons, mensonges et jalousies dessinent l'horizon de notre agonie.

Se plaindre alors que nous sommes nous mêmes fautifs de ce qu'il se passe serait hypocrite. Nous construisons le monde de demain. En délaissant aux mains de personnes peu scrupuleuses les questions d'égalité, de liberté ou même de droit, nous devenons complices des desseins tragiques des bandits de la finance. Nous ne pouvons nous en prendre qu'à nous mêmes qui nous montrons jour après jour lâches et sournois ou pire, jemenfoutistes...

L'unité c'est déjà faire preuve d'humilité, de tolérance, de sens civique. Pour acquérir de nouveaux droits après-guerre, le peuple français s'est soudé et a ordonné au gouvernement de créer ces nouveaux droits. Cela s'est fait par la lutte, par la rue. Les congés payés, la sécu, les retraites par exemple ne sont pas tombés du ciel par générosité des dirigeants, ils se sont obtenus par la grève. Aujourd'hui il est compliqué de mettre en place un mouvement unitaire parce que les hautes instances syndicales ont toutes des intérêts à protéger.

Il faut dépasser cela, c'est à nous, au bas de l'échelle de pousser afin de créer cette unité. Pour cela il faut savoir faire des concessions, ça n'est pas donné à tous, mais croire être récompensé par excès de zèle ou soumission au patronat relève de la folie, un syndrome de stockholm insencé. Nous le voyons, la grogne gagne partout en France et il est malheureux de dire que tout cela finira certainement très mal si nous ne trouvons pas de compromis.

Notre responsabilité est en jeu, peut être est-il plus facile de se soumettre et attendre de voir, mais cela n'avance en rien le débat que nous devrions porter. Lutter, c'est s'engager personnellement pour la collectivité. Refuser de s'inscrire dans le mouvement citoyen c'est faire preuve de faiblesse ou de complicité. Quand au fait de se montrer contre productif dans nos mêmes rangs révèlerait un manque de réflexion, de discernement. Comme le notait Friedrich Nietzsche : "A lutter avec les mêmes armes que ton ennemi, tu deviendras comme lui."

 

La note de la section : Vous l'aurez compris, à l'heure où nous publions ces mots, nous doutons de l'avenir que nous sommes en train de forger. Pas du fait que notre implication dans le débat ne serve à rien mais plutôt dans le message que nous nous efforçons de passer depuis déjà plus de 7 ans dans ce blog. Nous constatons que malgré les efforts engagés dans la lutte pour la sauvegarde du service public ou pour conserver nos droits et libertés, nous devons toujours plus décupler ces efforts pour expliquer, réexpliquer pourquoi il faut rentrer dans l'action. Pour beaucoup, le syndicat peut se débrouiller par lui même et beaucoup attendent sans comprendre que cela se fasse. Le fait est que le syndicat n'est rien sans syndiqué, il faut grossir les rangs pour s'organiser au mieux. Le silence radio de ces derniers mois n'est pas anodin, gérer un blog demande du travail de réflexion, d'organisation, de recoupement d'actualité et surtout du temps. Ce temps, c'est très souvent du temps personnel faute d'effectif (marrant non ?) mais ça n'est pas du temps perdu car le blog est toujours autant suivi. Merci pour votre soutien, maintenant à vous d'agir ! Dans les années 45 le taux de syndicalisme était de 95 %, aujourd'hui... 7% et nous perdons toujours plus faute d'implication. A vous de jouer !

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16 novembre 2017 4 16 /11 /novembre /2017 20:21
*Que vous faut-il de plus pour descendre dans la rue ?*

RESIGNATION OU JEMENFOUTISME ?

Il faut dire une chose pour ce 16 novembre, il n'y avait pas foule dans les rues de Saint-Gaudens si ce n'est toujours les mêmes et une escorte policière toujours plus renforcée...

On dirait bien que le Gouvernement ne tire pas encore assez sur nos droits et protections, il n'y a qu'à continuer ! Toutes les attaques encaissées par le bas de l'échelle ne sont peut être pas assez explicites ou alors sommes nous encore trop absorbés par nos petits soucis du quotidien ? Toujours est-il qu'il semble bien que la sentence ne soit pas si terrible, la population commingeoise ne grognant encore que devant son poste de télévision ou derrière ses fenêtres. Bien sûr il faut noter qu'il y a aussi les convaincus qui désertent ces mouvements faute de réelle organisation au niveau national, c'est un fait. Il est vrai que c'est déprimant en tant que militant de la première heure de s'appercevoir que la mayonnaise ne prend pas.

Ce que je voudrais décrire c'est qu'on a l'impression, quand on manifeste, d'être une espèce à part, les curieux nous zieutent sans réellement s'interresser à ce que nous revendiquons, d'autres voient certainement en ces mobilisations une provocation de troubles fête ou de fainéants et d'autres encore s'amusent de la situation. Quand on analyse de plus près les gens qui nous dévisagent, on se rend compte du réel manque de solidarité, d'information et surtout de réflexion. Qu'en sera t-il lorsque la sécu sera complètement démantelée par exemple ? Je ne pense pas que tout le monde adhère à devoir payer au prix fort ses soins... Ou alors on est indéniablement soumis à tout et n'importe quoi comme le serait un chien bien dressé, ou... un mouton.

Cessons les préjugés formatés selon lesquels manifester c'est pas bien ! Ca, c'est ce que les gouvernements successifs aux moyens des médias ont réussi à ancrer dans les esprits. Le manifestant serait un perturbateur professionnel qui ne pense qu'à empêcher les autres de travailler ou prendrait plaisir à faire ch***... Mais, oh, les gars ! Vous empêcher de travailler ? Si vous en êtes déjà là dans le raisonnement, c'est que vous êtes complètement bouffés par le mécanisme capitaliste. On appelle ça l'aliénation au travail. Et c'est grave, ça voudrait dire que le plus important dans votre vie est de donner de vous mêmes au capital, à une minorité qui ne vous rend même pas la pareille, au contraire, elle en veut plus cette minorité. Et en restant passifs, vous lui offrez chaque jour un peu plus les moyens d'en exiger ENCORE plus... (voir intervention UL CGT ci-dessous). A continuer dans ce sens vous serez même incapables d'empathie ou de répondre à des besoins familiaux, des pantins bien façonnés à l'image de ce que veut le capital, des moutons lobotomisés pour parler crûment. Ne m'en veuillez pas, à l'heure où j'écris, je vois aussi tellement d'aberrations graves qui se passent en ce moment et qui laissent les gens complètement indifférents préférant se rabattre dans l'ignorance ou la bêtise, il n'y a qu'à constater les sujets qui font le buzz...

Notre séjour sur Terre est éphémère, nous avons déjà assez de soucis comme ça, pourquoi s'en rajouter ? Sommes nous devenus masos ? Indubitablement devenus soumis à un système pervers et destructeur et totalement dénués de réflexion ?

Réveillez-vous ! Démocratie... Ce n'est pas à une minorité qu'il faut laisser le pouvoir, déléguer et une fois qu'ils y sont râler parce qu'ils ne tiennent pas leurs promesses ou qu'ils pratiquent une politique anti citoyenne. Le pouvoir est à nous, citoyens, seulement nous l'avons oublié. Il faut se le réapproprier. Pour cela il faut pousser le débat à l'intérieur de l'entreprise, se syndiquer, échanger avec d'autres entreprises et gonfler le rapport de force. Il faut en finir avec l'individualisme ancré dans nos us depuis quelques années. Notre confort présent finira par s'amoindrir d'ici peu si nous ne faisons rien. Nous avons les cartes en main, à nous de jouer !

Je ne suis pas pour autant défaitiste ou fataliste, je suis sincèrement convaincu que ça finira par péter, il suffit d'une étincelle, le truc qui fait que. Le travail des militants est de toujours plus informer et porter le mouvement, nous avons des hauts et des bas, c'est notre quotidien.

 

ET SI ON LEUR COLLAIT UN MAI 2018 ?

Force est de constater qu'à l'appel des hautes instances syndicales et d'abuser de grèves dîtes "saute-mouton" (sans mauvais jeu de mot), la mobilisation ne prend pas. Pourquoi ? Chacun semble avoir mieux à faire que de venir crier son mécontentement pourtant personne n'est vraiment content, c'est assez paradoxal...

Lancer un mouvement à la hauteur de celui de mai 68 me semble de l'ordre de l'impossible aux vues de la capacité des gens à réagir. Tout le monde est concerné par les ordonnances Macron, les régressions sociales qui verront le jour dès 2018 ou encore la casse du Code du Travail. Tout ce qui sera mis en place ne bénéficiera qu'aux plus riches et haut patronat.

Combien de commerces dans Saint-Gaudens ont fermé depuis l'installation de la zone commerciale à Estancarbon ? Et combien de ces commerçants ont fait en sorte de se défendre, de porter leurs revendications et de les partager avec nous puisqu'après tout cela nous concerne aussi ? Je préfère mille fois aller dans un commerce de proximité plutôt que dans une chaîne de magasins trop impersonnelle. Beaucoup le disent, mais beaucoup ne le font pas non plus... Pourquoi ? Nous sommes tellement pressés, oppressés par le temps qu'il faut aller vite et pour aller vite il faut sacrifier le social. Nous le détruisons nous mêmes chaque jour en acceptant le système imposé par le capital, en jouant le jeu.

Il faut revenir à ce qui faisait la beauté de notre pays, aux valeurs fondamentales qui appliqueraient réellement le fameux "liberté, égalité, fraternité". Pour cela il faut s'ouvrir à l'autre, respecter nos différencs et composer avec pour construire un avenir du "tous ensemble". Là nous serions dans la dynamique d'un rapport de force à toute épreuve, et là, nous pourrions aboutir sur nos revendications pour le bien commun.

Quant à nous, postiers, nous devons continuer à mettre la pression, fouler le pavé ensemble pour montrer notre solidarité et que nous sommes toujours autant déterminés.

J'en appelle aussi aux collègues de la plaque Comminges. Le conflit de Saint-Gaudens et Aspet n'a pas servi qu'à ceux qui ce sont mobilisés ! La sacoche a été abandonnée pour tous les sites, c'est une énorme victoire. Notre lutte a porté et La Poste a analysé plusieurs points qui posaient problème et ne réhitèrera pas dans vos bureaux !

Maintenant il nous reste plus qu'à nous mettre au point ensemble afin de gonfler le rapport de force. Ne croyez pas que les choses vont stagner, nos conditions de travail et notre métier seront perpétuellement mis à mal. Il nous faut agir et cela passe par une cohésion des bureaux de poste commingeois, distri et guichet.

Elargir et converger nos luttes, volà ce qu'il faut arriver à faire. Tomber tous d'accord et paralyser l'économie ne serait-ce qu'un jour, montrer déjà que nous serions en capacité de le faire ! Foutre la trouille à ces encravatés qui nous accablent depuis trop longtemps, faire trembler les lobbies. Pourquoi les français ne seraient-ils pas les premiers à entrer dans la danse ?

FOUTONS LEUR LES MIQUETTES ET REGAGNONS CE QUI N'AURAIT JAMAIS DU ETRE PERDU, LE POUVOIR !

INTERVENTION UL CGT :

 

En visite en Guyane fin octobre, sieur Jupiter annonce «je ne suis pas le père Noël»

 

Il y quelques jours c’est au tour du 1er ministre en visite à St-Barth d’expliquer qu’il «n’est pas assureur»

Le 11 novembre dernier Jupiter encore rétorque à une dame craignant que ses enfants ne bénéficient pas du progrès social  «Le progrès social, c'est celui qu'on peut se payer soi».

 

C’est la fin de l'Etat providence,  de la solidarité, chacun pour sa pomme!

 

Cette réponse montre vers quelle société le macronisme nous mène. Le Président nous explique que chacun peut réussir,  et ainsi ne pas faire partie de ces gens que l'on croise dans les gares et «qui ne sont rien».

Macron plaide pour l’individualisme libéré de toutes les contraintes. C'est à cela que s'emploie la politique qu'il mène en glorifiant l’individualisme et l’esprit d’entreprise. Il honore les start-ups et sacrifie l'industrie.

Dans le monde macronien, les protections, les garanties collectives sont des freins. Il faut faire tomber les derniers verrous qui protègent les travailleurs. Il faut enterrer le Code du travail, à grands renforts d’ordonnance, en amplifiant  les mesures contenues dans la loi El Khomri.

La Macronie c’est un grand pas en arrière. Le progrès social que l'on se paye soi, ce n'est pas autre chose que cette société uberisée que notre président a commencé à mettre en œuvre alors qu'il n'était encore que ministre du gouvernement Valls.

Le progrès social macronien, c'est la possibilité pour chacun de transformer sa voiture en taxi en trimant 70 heures par semaine pour des clopinettes. C'est la liberté donnée à un propriétaire immobilier de devenir hôtelier. C'est la liberté pour un jeune avec son vélo ou son scooter de devenir coursier pour livrer des repas, à son compte... pour le plus grand profit d'une plateforme.

Macron n'a d'yeux que pour le travail éphémère. Il rêve d’exploser le travail et sa législation

Sarkozy voulait en finir avec la vision progressiste du Conseil National de la Résistance. Presque 50 ans après mai 68, Macron veut en finir avec les dernières grandes conquêtes sociales…

Mai 68… Que Jupiter voudrait commémorer… Et si sans plus attendre nous lui offrions une reconstitution grandeur nature?

Nous qui ne sommes rien, nous les abrutis, les cyniques, les fainéants… !

 

Ceux qui conspuent les salariés oublient que sans eux ils ne sont rien !

 

La palme de l’indécence revient quand même à ce député qui s'en prend à "certaines personnes qui partent en vacances aux Bahamas grâce à l’assurance chômage"… Mais Mr Adam allez donc pointer à Pôle Emploi puisque le chômage est synonyme d’un quotidien paradisiaque !

 

Après  Wauquiez dénonçant les ‘’chômeurs qui profitent de la vie", après  Castaner insistant sur le fait que "la liberté, ce n'est pas bénéficier des allocations chômage pour partir deux ans en vacances", voilà  une nouvelle calomnie sur les odieux privilèges dont bénéficieraient  les personnes en recherche d'emploi.

En pleine révélation sur  les Paradise Papers c’est une provocation supplémentaire.

Mais que je sache monsieur le député, ces îles des Caraïbes offrent un asile confortable non pas à la France d'en bas,  mais plutôt aux "premiers de cordée" !

 

Aujourd’hui les attaques pleuvent de toute part… Et les lois que l’on nous propose,

au lieu de servir l’intérêt général, reprennent tous les vieux désirs du MEDEF.

 

Nos enfants nos petits enfants nés au XXIème siècle devraient-ils être condamnés à vivre comme au temps de Germinal?

 

A la fin du mois, les ordonnances réformant le Code du Travail doivent être ratifiées par le parlement.

 

Cette réforme du code du travail c’est celle qu'Emmanuel Macron a en tête depuis son arrivée au ministère de l'Economie en 2014.

 

Mr le président, vous avez décidé de prendre aux pauvres pour donner aux riches en protégeant plus que jamais les patrons millionnaires et les actionnaires des grands groupes.

En Macronie, mieux vaut être banquier et riche … Sinon on n’est rien...

 

Une fois encore, le gouvernement défend les intérêts des puissants

 

Celle là même qui aujourd’hui veut casser le code du travail a gagné 1,13 millions d’euros en un jour grâce au licenciement de 900 personnes. Danone, Dassault paradise n’ont aucun secret pour elle

Mme Pénicaud  vous n’avez aucune morale !

 

Ce gouvernement encourage les logiques financières spéculatives au détriment de l’intérêt général, de notre bien commun, de l’avenir de la planète. Le revirement sur le nucléaire en est un autre exemple.

De la Hollandie à la Macronie, il n’y a qu’un pas. Beaucoup l’ont franchi sans difficulté et rêvent de terminer le travail de démolition entrepris  par le gouvernement Valls.

 

Que celles et ceux qui par voie de presse s’insurgent aujourd’hui contre la monarchie élyséenne se rappellent qu’ils en ont soutenu les balbutiements il y a quelques mois. Je le redis aujourd’hui : la première mouture de la loi El Khomri portait le nom de loi Macron !

 

Messieurs mesdames amis de notre ancienne députée et qui aujourd’hui êtes peut-être parmi nous, vous nous l’avez déjà joué au moment de la réforme des retraites… Dans la rue sous Sarko pour cautionner pire sous Hollande !

La mémoire ne nous fait pas encore défaut

 

«  C’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches » écrivait Victor Hugo.

Il est  temps de  paralyser l’économie, il est temps d’arrêter de produire, il est temps de bloquer le pays !

Car que seront-ils sans nous ? RIEN

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14 novembre 2017 2 14 /11 /novembre /2017 21:19

Aujourd'hui se tenait la Commission Exécutive de l'Union Locale des syndicats CGT du Comminges.

A l'ordre du jour, le renouvellement de la CE et la préparation du prochain congrés de l'UL. Les ordonnances Macron sur débat de fond, nous avons décidé de redonner un élan aux initiatives miliatantes qui faisait notre force il y a encore quelques années.

Les jeunes s'impliquant de plus en plus dans la CGT en Comminges, il est essentiel de construire autour de cette dynamique et de relancer l'activité militante dans les entreprises.

Ce que nous inculquent nos dirigeants dans notre approche du monde du travail, c'est de ne surtout pas réfléchir, ils le font très bien à notre place. C'est pour cela que la CGT se retrouve sous les feux du patronat et du Gouvernement complice. Nous gênons parce que nous réfléchissons et poussons la réflexion au collectif. Notre force est là !

Les travailleurs, en général, semblent avoir oublier qu'émancipation au travail ne rime pas avec aliénation au travail. S'épanouïr au travail c'est possible si les conditions sont réunies et les contraintes réduites. Les postiers s'épanouissent-ils au travail lorsqu'on les contraint à faire plus dans les mêmes temps ou en sacrifiant leur mission première pour privilégier les profits de l'entreprise ? (surtout sachant que rien de plus ne se retrouvera dans leurs poches à la fin du mois) Je ne crois pas. Tout est là, la question du coût du travail que veux nous faire avaler le patronat. Pour la CGT c'est l'inverse, c'est le coût du capital qui est le réel danger et qui détruit tout autour de lui.

Il faut dire les choses comme elles sont, le travailleur créé la richesse et le patron en profite mais ne partage pas les profits engendrés. A nous de nous réapproprier l'entreprise, par une gestion collective et un partage équitable. Il faut pour cela renforcer ou créé des sections syndicales CGT à l'intérieur même.

Il faut revenir par conséquent aux fondamentaux (tryptique de la CGT : emploi, salaire, conditions de travail) et renforcer le lien entre les syndiqués, l'Inter Pro, le public et le privé pour reconquérir de nouveaux droits. L'unité est la solution. Une constatation simple : l'augmentation des profits se fait maintenant par rapport à la régression salariale et plus la production. Les dirigeants nous tiennent par rapport à la question du travail. A nous d'inverser la tendance.

De même, combien de temps faudra t-il encore afin que la population réagisse aux attaques sur les avancées sociales obtenues par la lutte ? Le Code du Travail, la CSG, la Sécu, etc... que faut-il de plus pour comprendre que nous subissons une régression sociale sans précédent qui finira par nous ôter toute dignité ? La CGT est là pour informer au mieux et il appartient à chacun d'élargir la réflexion.

Notre Union Locale des syndicats CGT effectue un énorme travail en Comminges quant à la défense des services publics et des salariés (public / privé) et ce, depuis des années et malgré l'augmentation des contraintes et attaques des différentes oppositions. Quel syndicat peut se vanter en Comminges d'avoir oeuvré aussi fortement pour la collectivité ? L'UL des syndicats CGT est le moteur du renforcement de la CGT en Comminges.

Nos dirigeants, quels qu'ils soient s'engagent à favoriser la formation ? Que se cache t-il derrière ? Il ne faut pas croire que c'est pour le bien de tous. Un exemple : à La Poste, des CDD ayant fait de nombreux contrats et remplacements connaissent déjà le métier de facteur. Pourquoi alors ne pas les titulariser dans la foulée ? Parce que pour La Poste il est plus juteux de les envoyer en formation, payée par le Conseil Régional et ainsi profiter de ces contrats pour faire du remplacement en cascade sur un bureau ou occuper un poste vaccant à moindre coût. Le coût est effectivement moindre en attendant une prochaine réorg qui supprimerait ce poste vaccant... De même si La Poste annonce un taux de réussite à 90 %, les "futurs postiers" déchantent vite car seulement 10 % sont retenus et encore, d'autres envoyés pré-formés à la concurrence ou laissés sur le carreau, cherchez l'erreur !

Pour conclure, il nous faut bien comprendre que nos besoins personnels dépendent directement des intérêts collectifs. Il est invraisemblable de croire pouvoir profiter longuement d'acquis individuels ou d'arriver à ses fins sans compter sur les collègues. L'erreur serait aussi de laisser le travail syndical à une même personne, ce travail est colossal et cela mènerait à l'abandon faute de répartition des tâches. Il est aujourd'hui de la responsabilité de chacun de s'investir à son échelle dans le travail syndical afin de soulager les militants les plus assidus et leur permettre de se concentrer sur des activités plus complexes.

 

La CGT c'est vous, c'est nous, continuons à créer le rapport de force afin d'aboutir sur nos revendications.

Le 16 novembre, rendez-vous Place Jean Jaurés, 17h.

Le patronat, avec la complicité des gouvernements succssifs, oeuvre habilement à destructurer le monde du travail : ordonnances Macron / MEDEF, loi travail, loi Macron, Pacte de responsabilité... Le Capital mène une réelle guerre des classes pour déconstruire méthodiquement le programme du Conseil National de la Résistance. Celui-ci avait pour objectif de débarrasser les travailleurs de l'incertitude du lendemain et de vivre dignement.
On assiste à une résurgence des injustices sociales, de la précarité et de la pauvreté, terreau idéal pour le développement de réflexes identitaires.
A cela, opposons leur les aspirations réelles des travailleurs, en faisant vivre nos campagnes au plus près des salariés et en leur donnant droit de paroles. En ancrant nos luttes à l'entreprise, nous oeuvrons à la reconquête du pouvoir d'agir des salariés sur leur travail. Dans un monde du travail où il n'y a plus de collectif, plus de souffle, et où l'épuisement est réel, du fait de la perte de sens au travail, il faut, à nouveau, pouvoir penser l'émancipation. Rien de tel qu'un voyage au coeur de la pensée, à travers la culture, l'éducation populaire, pour toutes et tous. Cultivons, ainsi, l'espoir, la paix et les utopies pour introduire de la démocratie dans l'entreprise. Les enseignements historiques de nos "conquis sociaux" pourront, ainsi, prendre tout leur sens auprès des salariés. Face au discours dominant visant à faire de la précarité une nécessité incontournable, une fatalité sous le coup de la modernité et de la mondialisation, gagnons, partout, l'unité des salariés et leur engagement à agir, pour raisonner autrement qu'avec des chiffres. C'est en plaçant l'humain et la protection des ressources de notre planète au coeur de nos réflexions que nous pourrons rompre avec le chacun pour soi et l'individualisation des risques imposés par la doctrine libérale. Imposons notre ambition de transformer la société vers un développement humain durable, à travers notamment la reconquête de la Sécurité Sociale et son universalité, et la conquête d'un NSTS (nouveau statut du travail salarié) et sa Sécurité sociale professionnelle. Offrons aux salariés, à travers un syndicalisme de masse, la possibilité, à partir de leur travail, d'intervenir sur les enjeux de la société.

Servane Revault, Le Peuple

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11 novembre 2017 6 11 /11 /novembre /2017 22:13

Vendredi soir, les postiers ont fêté leur belle victoire aux côtés de leurs inestimables soutiens.

Nous nous sommes tous retrouvés autour d'un repas pour une soirée conviviale placée sous le signe de la fraternité. Nous avions décidé de célébrer ceux qui nous ont le plus apporté pour créer le rapport de force pendant le conflit.

L'idée était donc de nous réunir pour conserver les liens qui nous ont permis de tenir et de nous donner le courage nécessaire pour avancer ensemble.

Nos invités d'honneur du secrétariat départemental de la CGT FAPT 31, Romain, Régine, Laetitia, de SUD, Michel, de l'Union Locale représentée par Bernard ont répondu présent à notre invitation. Nous les remercions encore de tout ce qu'ils ont donné pour soutenir notre mouvement.

Une grosse pensée toutefois à tous ceux que nous n'avons pu inviter qui nous ont apporté autant de leur personne. Il est remarquable de constater à quel point le Comminges est solidaire dans les moments difficiles. Merci donc à tout le boulot que peuvent effectuer dans l'ombre les bénévoles de l'UL, boulot pas assez connu de tous malheureusement. Ce sont des personnes emplies de convictions qui donnent de leur temps à la défense des salariés, la préparation d'initiatives militantes, l'accompagnement au niveau juridique et font des permanences le mardi et le vendredi à Saint-Gaudens pour répondre aux salariés. Ils font un boulot énorme pour faire converger les luttes en Comminges. Ces gens humains, généreux et militants aguerris de la CGT et de l'inter-pro étaient quotidiennement à nos côtés pendant le conflit, nous saurons nous en souvenir !

Parenthèse fermée, une soirée bien sympatoche, musique, animation, chants et bien sûr un repas délicieux. Nous en profitons pour remercier Driss et sa femme qui nous ont bien régalé, super couscous, rien à dire !

A refaire donc, il y aura certainement une suite.

 

Nous continuons sur la lancée pour maintenir une cohésion sans faille et porter nos revendications toujours plus loin.

Les postiers d'Aspet et de Saint-Gaudens ont déjà fait des émules au sein du département ainsi que dans d'autres comme le 65, le 82, le 64 et bien d'autres après la publication de la vidéo résumant la situation du conflit. La fréquentation du blog a atteint des reccords. Nous avons aussi reçu des messages de postiers. Nous sommes heureux que notre lutte ait pu apporter des réponses voire même annuler des réorganisations comme c'est le cas dans certains bureaux.

Le 16 novembre, les postiers seront dans la rue pour manifester, nous appelons toutes celles et ceux souhaitant rejoindre le mouvement à venir grossir les rangs. Nous avons tous de bonnes raisons de fouler le pavé maintenant aux vues des attaques que nous encaissons depuis l'élection de ce roi fou, complice de la finance.

Il est important de comprendre que c'est par la rue que ce sont gagnées les avancées sociales que nous perdons à mesure de notre passivité. C'est par la rue que nous en conquérerons de nouvelles pour tous ! Note à tous les commerçants, les petits patrons et entrepreneurs serrés à la gorge, serrons nous les coudes et marchons ensemble ! Notre objectif est le même, la survie n'a que trop duré, reprenons ce qui nous appartient, notre dignité !

La CGT n'est pas responsable de vos malheurs, retournez donc votre hargne contre les vrais responsables et joignez vous à nous ! C'est dans cette optique que nos anciens ont fait aboutir de nouveaux droits et libertés, par le tous ensemble !

TOUS DANS LA RUE LE 16 !!!

 

*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
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*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
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*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
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*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
*Quand la fraternité s'invite à table. La soirée des postiers*
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9 novembre 2017 4 09 /11 /novembre /2017 22:10

S'il est urgent que chacun comprenne qu'il est dans l'intérêt de tous de se réunir, débattre et construire ensemble face aux diverses attaques du Gouvernement sur les droits et libertés des travailleurs, nous pouvons affirmer que depuis la fin du conflit sur Saint-Gaudens, l'unité reste de mise.

Les ex agents grévistes ont décidé en effet de partager des moments conviviaux afin de se retrouver, continuer à pousser la réflexion et ne pas tomber dans une routine qui serait fatale aux objectifs qu'ils se sont fixé.

 

RALLIER NOS FORCES :

Pour le moment, les agents n'ayant pas fait grève semblent s'être repliés sur eux-mêmes, la tension est palpable pourtant il n'y a aucun réel ressenti envers eux de notre part. Sauf exception de quelques heurts isolés, il n'est pas dans notre intérêt de jouer la séparation.

Nous nous interrogeons sur cet isolement, ne cache t-il pas un malaise plus important ? Il n'est pas évident de se relancer dans des discussions comme si rien ne s'était passé pour les uns comme pour les autres.

Tout reste à faire car la réorganisation doit se mettre en place malgré tout dès le mois de mars 2018. Les différentes avancées obtenues par la ténacité des agents grévistes reflètent du besoin de conquérir de nouveaux droits, nous n'en avons que trop laissé filer.

Avant d'entamer le mouvement, l'ensemble du personnel jugeait que cette réorganisation était celle de trop. Pourquoi alors tous les agents ne sont ils pas sortis afin de se battre unitairement ? Que s'est-il passé pour que durant 1 mois certains agents aient choisi de fermer les yeux sur cette bagarre qui répondait à une décision collective ? Chacun a ses raisons c'est un fait indéniable, nous ne sommes pas là pour juger mais pour comprendre ce qui nous a échappé afin de rétablir la cohésion. Ce qui nous fait souvent défaut dans ces moments de doutes, ce sont les non-dits, les incompréhensions ou encore le manque de communication.

Il faut comprendre que faire grève sur une longue période, c'est harrassant, tout un tas d'émotions défilent à mesure que le temps passe et il est vrai que de voir ses collègues rentrer sans dire un mot, s'isoler à l'autre bout du quai au lieu de venir échanger avec nous, ça fait mal et on se pose beaucoup de questions, c'est légitime. Certes tous n'ont pas choisi d'ignorer la situation, heureusement ! L'avenir donnera certainement raison au fait que les agents qui ont choisi l'isolement rencontrerons à un moment donné des difficultés dans le travail. Tourner le dos au collectif c'est se condamner à faire cavalier seul face à de futurs ennuis, ce n'est donc pas un bon choix. Le problème par ces temps incertains, empreints de casse des droits des travailleurs, c'est que nous n'avons plus le choix !

Soit on lutte ensemble pour défendre l'intérêt collectif soit on reste passif mais il serait indécent et peu judicieux de reprocher quoi que ce soit à ceux qui essayent de faire avancer le schmilblick pour tous. Les postiers ont tout intérêt de comprendre que le progré social passe par l'unité, par la lutte, par la rue. Penser faire avancer les choses par soi-même reste du domaine de l'utopie car cela ne marche qu'un temps et ça ne permet que de créer des inégalités.

Nous tenons donc à réaffirmer notre volonté de construire ensemble, de ne pas nous enfoncer dans la division et que toute nouvelle force est la bienvenue dans le groupe. Nous avons été clair dès le début en conviant tout le monde à se joindre à nous pendant les 20 minutes de pause. Cela reste valable pour aborder sereinement la suite des évènements.

 

RECREER LES LIENS ENTRE TRAVAILLEURS

L'histoire nous a enseigné qu'il n'y a que lorsque les travailleurs s'unissaient, qu'ils obtenaient de nouveaux droits. Les conquêtes sociales n'ont pu aboutir que par un rapport de force massif.

Nous sommes dans cette optique là et nous ne comptons pas lâcher. Le conflit de 2015 nous a prouvé que reprendre le travail trop sûr de soi relâchant un tant soit peu l'attention, nous avons perdu de vue la priorité, le tous ensemble. Nous n'avons pas su rester vigilants et unis, la routine du quotidien nous égarant dans l'individualisme.

Cet enseignement nous ayant porté préjudice, il est important dans nos esprits de ne pas reproduire les erreurs passées. Nous tâchons de composer avec nos différences, nos caractères. Nous encaisserons les coups durs et les surmonterons ensemble, c'est ce que nous nous sommes promis. L'ensemble des agents concernés savent très bien qu'il n'y a qu'ainsi qu'ils pourront aboutir sur leurs revendications.

Nous avons convenu de prendre les 20 minutes de pause ensemble, cet esprit de groupe est très revigorant et bénéfique pour le moral de tous. Chacun met la main à la pâte et apporte de quoi grignoter. On passe un bon moment avant de se remettre au travail, c'est juste génial !

Nous avons aussi organisé un petit gueuleton avec ceux qui nous ont le plus soutenu. Les représentants de l'Union Locale CGT ainsi que des camarades de la FAPT 31 et de SUD qui nous accompagnaient au quotidien sont nos invités VIP pour cette soirée prévue vendredi. Avant les réjouissances, nous avons programmé une réunion des syndiqués afin de débrieffer sur la situation.

Nous envisageons de faire d'autres soirées, peut être même des sorties ou autres activités qui nous permettront de ne pas couper ce lien.

Nous espérons que cet engouement qui est le nôtre se propagera à nos collègues et inspirera d'autres à élargir les initiatives. Nous restons ouverts à intégrer dans ce groupe déjà formé celles et ceux qui le souhaitent.

 

Par ailleurs nous donnons rendez-vous à tous à la journée de mobilisation du 16 novembre Place Jean Jaurés à 17h00 ! Pour d'ores-et-déjà porter notre voix contre les attaques répétées de Macron & Co !

 

Tous unis dans un seul but, le pouvoir au peuple et non aux élites

DE-MO-CRA-TIE !

 

*Renforcer l'unité du collectif pour conquérir de nouveaux droits*
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8 novembre 2017 3 08 /11 /novembre /2017 20:17

Ce mardi nous recevions la visite du médiateur de la DSCC qui avait convenu de cette date afin de nous apporter des réponses aux différents items listés par nos soins sur le cahier revendicatif.

Dans un premier temps le médiateur représentant la DSCC a tenu à rassembler tout le personnel puisque les avancées bénéficient à tous. La section CGT FAPT de Saint-Gaudens avait déjà brieffé l'ensemble du personnel sur l'importance de la présence de tous les agents.

S'en est suivi un oratoire congratulant le personnel gréviste pour sa force de courage et de conviction, le médiateur respectant la valeur des gens qui se battent pour leurs idées même s'il ne les partage pas, et aux non grévistes pour le fait d'avoir assuré une continuité malgré la difficulté de la situation. Insistant sur le fait que les grévistes ont apporté beaucoup au débat pour le collectif, le médiateur souhaitait couper court à tout grief.

Nous partageons de ce fait une même optique. Il est temps de recommencer à travailler tous ensemble et laisser de côté toute rancoeur qui ne pourrait qu'être que contre-productive dans le besoin que nous avons de construire unitairement.

L'équipe de la DSCC a étudié les revendications listées et les a classé en plusieurs catégories : organisation du travail, santé et sécurité au travail, moyens à dispo etc...

Des premiers éléments de réponse ont été apportés sur l'organisation du travail :

  • réelle prise en compte du temps imparti : nous sommes basés sur des particularités locales estimées dans le bilan de charge à 6 minutes pour la prise en charge et le remisage du véhicule à Pôle Emploi.
  • révision temps imparti pour fusionner le TCD : une plénière sur la question aura lieu le 23 novembre, en milieu rural il est difficile d'avoir un TCD de qualité ou différent selon les tournées. Il faut parvenir à une nomination et numérotation des rues. La fusion n'est pas possible dans les conditions actuelles.
  • prise en compte des objets signalés et reddition en cabine : il y a un temps affecté peut être sous-évalué (3 minutes sur le bilan de charge) il faut voir, des solutions sont envisagées comme l'appel des tournées par micro ou la mise à disposition d'un coffre sécurisé pour pouvoir retirer les objets.
  • revenir à des cadences humaines : les cadences n'ont pas changé depuis 2003 (il semble qu'il y ait un différentiel énorme entre les cadences établies et celles utilisées pour réorganiser les tournées). Pour les tournées vélo, la DSCC n'émet pas d'opposition à les réévaluer selon le respect du code de la route, le facteur ne devra pas rouler sur le trottoir mais marcher à côté du vélo. Cela remet en question les tournées puisqu'elles seront donc considérées piétonnes, une belle avancée !
  • prise en compte des STOP PUB : cela sera géré en fonction des horaires collectifs, les heures sup ne peuvent être comptabilisées à l'avance. Le taux de visite augmentant, le temps sera étudié au suivi.
  • prise en compte des prestations et nouveaux services : d'ici 2020, la Direction souhaiterait qu'il en soit effectué au minimum 3 par jour. Si les prestations prennent plus de temps que 15 minutes, elles seront confiées au FSE.
  • impression des avis de passage lettre expert par la cabine : cela doit être fait normalement, actuellement non... manque de temps ?
  • prise en compte des petits colis internationaux (PPI) : le paiement s'effectue au flashage
  • plus de sécabilité : jours forts et jours faibles n'ont aucun sens sur le site de Saint-Gaudens, à partir de 2018, La Poste devra composer avec 30 jours de sécabilité pour pallier à des absences inopinées.

Voilà pour les points abordés ce jour.

Nous constatons que depuis le mouvement, La Poste s'est enfin atelé à nous apporter plus de réponses. C'est en ce sens satisfaisant du point de vue d'un nouveau départ dans les meilleures conditions possibles et pour renouveler la confiance.

Le plus étonnant malgré le fait que cla soit avéré par la pratique, c'est que la DSCC reconnaît que Facteur d'Avenir n'a pas été un projet abouti sur la plaque Comminges. Il faut entendre que cela fonctionnait beaucoup mieux en milieu urbain. Ici, les tournées sont chargées par le courrier, les OS, les colis, la pub et autres prestations donc ce projet n'avait pas lieu d'être en terme organisationnel, pas au niveau des avancées qu'il représentait (promotions, primes).

Depuis 2007, nous subissons ces réorganisations que nous dénonçons avec détermination, preuve à l'appui des divers dysfonctionnements. Il était temps de reconnaître de ce non sens. Dix ans après, nous sommes soulagés tout de même d'entendre cela. Cela démontre une autre chose, c'est que si La Poste nous avait entendu avant, nous aurions pu commencer à vraiment construire quelque chose de fiable répondant aux attentes des usagers et aux évolutions futures du métier.

La section CGT FAPT de Saint-Gaudens se réjouit d'avoir pu porter très haut ce message. Déjà plusieurs réorganisations sont remises en question par rapport aux éléments que nous avons fait remonter. La Poste semble avoir compris que le travail de réorganisation passe par la prise en compte des revendications du personnel, ça reste à voir pour la suite, restons vigilants.

Nous nous donnons rendez-vous pour la suite des réponses que nous transmettra la DSCC lors d'une prochaine réunion.

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6 novembre 2017 1 06 /11 /novembre /2017 21:01

La précédente demande de réfection du local syndical étant restée sans suite (14 mai 2014, voir photo) et ayant besoin d'un endroit pour pouvoir assurer correctement l'activité syndicale (tenue du blog, tracts, permanence, réunions, concept etc...), il est urgent que La Poste prenne ses responsabilités à ce sujet et nous apporte une réponse concrète.

Les différents rappels à la Direction Courrier n'ont mené à rien puisque l'argument principal est que les locaux appartiennent à la Banque Postale et de ce fait, la demande lui a été transmise. Visiblement, la Direction de la Banque n'a que faire de ce détail puisque nous n'avons même pas eu un semblant de réponse en l'espace de 3 ans... Mépris ? Oubli ?

Toujours est-il que la section s'agrandie et a besoin d'un local pour exercer son activité syndicale. Il est vrai que notre section est la seule organisation syndicale à avoir demandé la réfection du local, cela ne doit pas rentrer en ligne de compte puisque le local servira à tous. Aucune discrimination ne sera tolérée, nous exigeons une réponse rapide et favorable !

C'est pour cela que la FAPT de Saint-Gaudens relance cette demande aux deux directions responsables de La Poste de Saint-Gaudens, le Courrier et la Banque.

3 ans avant, pas de réponse depuis...

3 ans avant, pas de réponse depuis...

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2 novembre 2017 4 02 /11 /novembre /2017 20:49
Bientôt du nouveau contenu dans le blog !

Si nous vous tiendrons au courant de l'actualité postale dans de prochains articles, il convient de vous signaler aussi que nous allons créer un JT de la section qui paraîtra mensuellement dans le blog.

Au programme,

  • de l'info concernant l'évolution de la situation postale en Comminges,
  • des explications sur notre métier pour que tout le monde puisse mieux comprendre nos revendications,
  • un bulletin spécial destiné aux usagers leur apportant plus de renseignement,
  • nous pourrons bien entendu répondre à vos questions posées sur le  courriel : cgtcomminges-poste@hotmail.fr
  • envisager un micro-trottoir de temps à autre
  • des interviews, etc...

Nous verrons les détails par la suite, le JT ne devrait pas durer plus de 5 minutes, nous n'en sommes qu'aux prémices du développement, les idées fusent, il faudra tout recouper.

Tout un programme donc, le JT porte déjà un nom : "Le Remu-Comminges", pour la petite histoire, nous avons tout simplement repris l'idée d'un édito retraçant l'activité militante d'il y a quelques années à des camarades en fin d'activité maintenant.

Ou comment faire du neuf avec du vieux !

On travaille déjà à la conception de la première édition, en espérant que ça vous plaira et surtout que vous ayez l'info de manière plus attractive et enfin que ça donne des idées à d'autres cellules d'échanger sur leur boulot.

Restez connectés !

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2 novembre 2017 4 02 /11 /novembre /2017 20:26

Je profite de ce billet pour démentir officiellement une rumeur circulant depuis le mouvement social.

Il semblerait, selon plusieurs sources sur les tournées des facteurs grévistes, que certains des renforts envoyés écouler la charge de travail et baffouer donc le droit de grève, droit toujours constitutionnel jusqu'à preuve du contraire, que certains de ces agents spéciaux aient profité de la chose pour nous enfoncer un peu plus.

En effet, les grévistes sont accusés de bloquer le courrier directement dans le bureau de Saint-Gaudens. C'est en tout cas ce que racontaient ces braves gens lorsque les usagers les interrogeaient sur le fait qu'ils n'avaient pas leur courrier.

Donc,pour continuer dans le sens de la confiance, la section CGT FAPT de Saint-Gaudens interpelle la DSCC afin de faire toute la lumière sur cette situation. Il est inadmissible que des propos dénigrant les agents grévistes restent impunis !

Les agents ayant repris le travail ont fait tout leur possible pour écouler le reliquat de courrier dans les meilleurs délais. Ils ont cependant constaté que le travail fournis par les renforts n'était pas à la hauteur du service public et ne correspondait pas aux attentes des usagers. Beaucoup trop de dysfonctionnements, d'erreurs, de boîtes, de rues non trouvées, bref se permettre en plus de cela de lancer des accusations fausses, c'est avouer sa faiblesse.

Nous considérons qu'à la lecture de ce billet, les responsables de ces troubles se désigneront et nous adresseront leurs excuses les plus sincères !

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